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50 - L'Ombre & la Lumière

 

L'OMBRE PUIS LA LUMIERE...

 
Comme une ombre qui se déguise, comme un passé qui se divise, l'au revoir ne reste amer que s'il n'est pressenti…Cette petite lueur que vous croyez deviner en elle pourrait bien être le dernier souffle d'un trop long combat.
 
A trop aimer son prochain on finit par se lasser de soi.
 
Tant d'âmes égarées se torturent sans se soucier de vous, trop de féerie dans une page de votre vie que l'on pense inanimée.
 
On se perd comme on se noie dans l'enchantement des cieux. Alors on s'approche, on se rapproche et on se perd. 
 
A trop rêver de sprochain on finit par s'enivrer…
 
Quelques blâmes mais peu de traces laissées par ce glaive,  la fierté retient tous les embrasements…
 
A trop songer on finit par s'aimer
 
D'avoir mis son âme dans ses mains, elle l'a froissée comme un chagrin, petite sensibilité à fleur de peau, sa plume et sa dépendance font chaque jour d'elle quelqu'un de bien. 
 
Prisonnière de sentiments inavoués, elle se laisse dériver au gré des jours et des mots.
Pensée furtive d'une petite lueur, tendres baisers supposés et mon amour disséminé...
Une âme qui s'éteint est un monde qui s'écroule.
 
Eclairé parShadedly, le Jeudi 13 Novembre 2003, 17:35 dans la pénombre "~¤ Du rire aux larmes... ¤~".

Commentaires :

Yamael
Yamael
14-11-03 à 08:07

C'est tellement empreint de sensibilité ce que tu écris, je ne sais pas quoi dire sans tout de suite baisser le niveau...

Sensible et triste à la fois, chacune de tes phrases se savoure comme une confiserie dont l'enveloppe sucrée cache un coeur pétillant, un peu comme ces bonbons que l'on mangeait il y a quelques années et qui vous éclataient dans la bouche comme un feu d'artifice en vous arrachant une larme de douleur exquise.

Ton article est un feu d'artifice de sentiments.

Bises

 


 
Songe
Songe
14-11-03 à 11:33

L'ombre et lumière

Une lueur fragile dans l'obscurité de l'incertitude,

Une flamme qui vacille, à la portée du dernier souffle venu,

 

A trop aimer le lointain, finit-on par s'égarer ?

En ces contrées où la féérie voile les désilllusions

Et dissimule l'autre à notre attention derrière une étoffe de rêve ...

 

On se rapproche, on s'éloigne, on ne voit plus toujours les distances

Suspendus entre terre et ciel, tiré alternativement vers l'une et l'autre ...

 

A trop rêver son prochain on finit par l'enivrer,

Porter à son âme le glaive, l'ensuivre de trêves,

Ensemble s'embraser pour la fierté du sentiment ...

 

A trop songer à l'amour, on s'y laisse prendre ...

 

Prisonnier de sentiments informulés, il se laisse dériver au gré des jours et des mots.

 

Lueurs furtives d'une pensée, tendres baisers suggérés et mon amour indécis ...

 

Une âme qui étreint est un monde qui s'éveille

 

(La crainte de se refermer sur le vide doit-elle retenir l'étreinte ?)